L’histoire émouvante de M. Honda : des leçons de vie pour l’aspirant entrepreneur

L’histoire émouvante de M. Honda : des leçons de vie pour l’aspirant entrepreneur

Aug 29, 2023

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En 1938, M. Honda n’était qu’un pauvre étudiant qui rêvait de créer un nouveau type de segment de piston qu’il comptait fabriquer pour la société Toyota.

Tous les jours, il allait suivre ses cours, puis il passait la nuit à travailler sur la conception de son engin, le visage et les mains pleins d’huile. Il investit le peu d’argent qu’il possédait dans son projet, sans parvenir à le terminer. En dernier ressort, il a dut mettre les bijoux de sa femme au clou pour pouvoir continuer.

Après des années et des années d’efforts, il parvient enfin à dessiner le type de segment de piston qu’il comptait fermement vendre à Toyota. Mais lorsqu’il présenta son produit, Toyota refusa de l’acheter. Il dut retourner à l’Université où il se fut humilier par ses professeurs et par ses amis qui lui dirent qu’il était complètement idiot de dessiner les plans d’un machin aussi ridicule.

Était-il frustré ? Et comment ! Était-il fauché ? Sans aucun doute ! Abandonnant- il la partie ? L’idée ne l’en effleura même pas !

Au lieu de cela, il passa les deux années suivantes à réfléchir aux moyens d’améliorer la conception de son segment de piston… Enfin, au bout de deux années, il peaufina la conception de son engin et Toyota finit vraiment par le lui acheter !

M. Honda avait besoin de béton pour construire son usine de piston, mais tout le béton disponible avait été réquisitionné, car le branle-bas de combat régnait au sein du gouvernement japonais qui se préparait à livrer la Seconde Guerre mondiale. Une fois de plus son rêve paraissait sur le point de s’écrouler. Personne ne semblait pouvoir l’aider. Là encore… en fut-il découragé ? Pas le moins du monde. Il était fermement décider à construire son usine et n’envisageait même pas la possibilité de renoncer à son projet. Il réunit donc quelques amis et, pendant des semaines, ils travaillaient nuit et jour expérimenter diverses méthodes de fabrication, jusqu’au jour où ils trouvèrent enfin une nouvelle façon de produire du béton. Il construit alors son usine et peut enfin produire ses segments de piston.

« Mais l’histoire continue…. »

L’histoire ne s’arrête pas là. Pendant la guerre, les Etats-Unis bombardèrent son usine et en détruisirent la majeure partie. Au lieu de s’avouer vaincu, M. Honda rallia ses employés autour de lui et leur dit : « vite, courez observez ces avions. Ils vont larguer leurs bidons d’essence dans le vide. Il faut trouver les points de chute de ces bidons pour les ramasser, car ils sont faits de matières premières dont nous avons besoins pour fabriquer nos produits » A l’époque, il était impossible de se procurer de ces matériaux aux Japon… Finalement, un tremblement de terre détruisit son usine et il fut obligé de vendre son entreprise de production de segment de piston à Toyota. Mais Dieu ne nous ferme jamais une porte sans nous en ouvrir une autre, aussi devons-nous rester à l’affût de ce que la vie peut nous offrir.

Lorsque la guerre prit fin, le chaos régnait au Japon. Partout dans le pays, il y avait pénurie de matière première. Avec une vie difficile, M. Honda s’est posé une question d’une importance cruciale. Que puis-je faire d’autres pour nourrir ma famille ? Comment mettre à profit les connaissances que je possède déjà pour atteindre mon but ? Il s’aperçoit alors qu’il lui restait un petit moteur, de ceux dont on se sert pour équiper les tondeuses à gazon et l’idée lui vient de le monter sur sa bicyclette. Il créa ainsi la première motocyclette. Il s’en servait pour aller au marché et peu après, ses amis lui demandèrent de leur fabriquer leur propre « motocyclette ». En peu de temps, il en monta un si grand nombre qu’il commença à manquer de moteurs. Il décida alors de construire une nouvelle usine pour les fabriquer lui-même. Mais que faire sans argent, dans un Japon déchiré ?

Au lieu d’abandonner la partie et de se dire : « il n’y a pas de solution », une brillante idée lui vient à l’esprit. Il décida d’envoyer une lettre à tous les propriétaires de magasin de bicyclette du Japon, dans laquelle il leur expliquait qu’il avait trouver une solution pour remédier aux problèmes de transport du Japon, que sa motocyclette serait économique et qu’elle permettrait aux Japonais de se déplacer facilement. Puis, il leur demanda d’investir dans son projet.
Parmi les 18 000 propriétaires de magasins de bicyclettes qui reçurent la lettre de M. Honda, 3 000 décidèrent de le financer et il put alors fabriquer son premier lot. Vous pensez peut-être que le succès est immédiat, n’est-ce pas ? Eh bien, pas du tout ! Sa motocyclette était trop grande et trop lourde, c’est pourquoi bien peu de Japonais l’achetèrent. Une fois de plus, il analysa ce qui ne n’allait pas et, au lieu de baisser les bras, il révisa à nouveau sa stratégie. Il décida d’épurer le modèle de ses motocyclettes et d’en construire des beaucoup plus légères et de plus petites dimensions. Il nomma son nouveau modèle « the cub ». La nouvelle motocyclette fut fureur sur le marché et ce succès inouï valut à M. Honda d’être décoré par l’empereur. Il devient célèbre et tout le monde déclara qu’il avait eu bien de la « chance » d’avoir eu une si bonne idée.

Était vraiment de la chance ? Si « chance » signifie travailler en sachant ce que l’on fait, alors oui, il se peut que M. Honda ait eu de la chance. A l’heure actuelle, son entreprise est l’une des plus cotées au monde. La société Honda compte plus de 100 000 employés et vend plus de véhicules que tous ses concurrents américains, à l’exception de Toyota. En tout M. Honda n’accepte jamais de s’avouer vaincu. Il refusa de se laisser arrêter par les problèmes et les circonstances. Il avait décidé une fois pour toutes qu’il y a toujours moyen de réussir quand on le veut vraiment.


Cette histoire se trouve dans le livre d’Anthony Bobbins sont le titre est « les onze lois de la réussite » page 39 à la page 44

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