Quelles sont les compétences de base pour un aspirant ou un nouveau entrepreneur ?

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Mar 06, 2023

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Les compétences les plus importantes que l’entrepreneur doit apprendre sont : les compétences entrepreneuriales, les compétences managériales, les compétences marketing et commerciales, les compétences en gestion des ressources humaines et les compétences en gestion financière. Les compétences citées sont issues des deux mondes. D’abord les chercheurs après s’être rendus compte que la réussite en entrepreneuriat n’est pas liée aux traits de personnalité, mais bien aux compétences, ils ont élaboré des référentiels de compétences pour réussir en entrepreneuriat. Ces compétences ont d’abord été théoriques. Ensuite, elles ont été présentées aux entrepreneurs expérimentés qui ont validé certaines compétences et suscité aussi des compétences nouvelles.


Les compétences entrepreneuriales sont divisées en trois parties que sont :
L’identification des opportunités d’affaires : c’est de l’idée à l’opportunité
L’élaboration d’une vision entrepreneuriale : c’est de l’idée au projet
Impulser une organisation : du projet à la structure


Les compétences managériales


Les compétences managériales se divisent en trois que sont le leadership, la communication et le management des hommes.
Compétences marketing et managériales
Les compétences en ressources humaines
Les compétences en ressources humaines se divisent en trois parties à savoir le recrutement, la gestion administrative et juridique et la gestion prévisionnelle des emplois et des compétences.


Compétences en gestion financière


Les compétences en gestion financière se divisent en trois parties qui sont la gestion de la trésorerie, la gestion financière proprement dite et la gestion administrative juridique.
Il y a des compétences particulières, bien que pouvant être logées dans l’une des compétences citées, méritent d’être mise en évidence vu leur importance. Ce sont :


L’intelligence sociale


L’intelligence sociale ou intelligence interpersonnelle est la forme d’intelligence qui permet de comprendre autrui (ses pensées, ses sentiments) et d’agir efficacement avec lui en situation d’interaction sociale (Wikipédia). C’est aussi la capacité de négocier, de persuader de mettre en valeur le produit ou son service. C’est l’intelligence la plus importante en entrepreneuriat. Pourquoi ? L’entrepreneuriat est avant tout un fait social. Il suffit de revisiter le chapitre 2 pour s’en rendre compte. D’abord, nous créons nos biens ou nos services pour vendre à des gens. La vente est le lieu de négociation par excellence. Le vendeur a besoin de connaître les besoins, les sentiments de son prospect ou de son client afin de pouvoir proposer un bon service. Plus son intelligence sociale est élevée, plus le vendeur vendra. Et comme nous l’avons vu et que nous le verrons encore, la vente est la colonne vertébrale de l’entreprise. Pas de vente, pas d’entreprise. Pour pouvoir produire aussi le bien ou le service, il faut passer par des négociations. Une négociation avec les fournisseurs, avec les partenaires (financeurs, l’État). Un autre aspect non-négligeable est comment recruter les employés et les faire travailler en conformité avec la vision de l’entreprise. Il faut avoir une relation interpersonnelle forte pour mieux accomplir la tâche. Bref, l’intelligence sociale est le propre des entrepreneurs à succès.


L’intelligence financière


L’intelligence financière est apparue dans les années 2000 avec les travaux du célèbre entrepreneur Robert T. Kyosaki. Cette partie prend appui sur les travaux de ce dernier.
Avant de parler d’intelligence financière, il est nécessaire de connaître le sens des termes suivants :


Le revenu : ce qui est perçu en nature ou en monnaie, par quelqu’un ou une collectivité comme fruit d’un capital placé (intérêt sur un capital prêté, dividende sur un capital engagé), ou comme la rémunération d’une activité (profit) ou d’un travail (salaire). C’est la définition du dictionnaire Larousse. Ce que l’on retient, c’est que ce sont des procédés qui permettent à l’auteur d’encaisser de l’argent ou d’avoir un avantage en nature à la fin d’une période.


Les actifs : c’est l’ensemble des biens qui mettent de l’argent dans notre poche. Exemple : une maison construite pour mettre en location met de l’argent dans notre poche.


Les éléments de passifs : c’est l’ensemble des biens qui enlèvent de l’argent de notre poche. Exemple : l’achat d’un véhicule retire de l’argent de notre poche.
NB : un même bien peut être un actif ou élément de passif selon l’usage. Un véhicule qui est utilisé pour circuler seulement est un élément de passif alors que s’il est mis en location, c’est un actif.


Les dépenses : c’est faire sortir de l’argent pour acquérir un bien ou service. Les dépenses diminuent notre patrimoine.
La liberté ou l’indépendance financière : le ratio d’indépendance financière, c’est le rapport entre les revenus du patrimoine et le train de vie courante (les dépenses mensuelles habituelles). La liberté financière est acquise lorsque les revenus du patrimoine surpassent les dépenses mensuelles, c’est-à-dire, lorsque le ratio est supérieur à 100 %.


Le Cash-flow : il représente l’ensemble des flux de liquidités générés par les activités d’une société, il constitue un bon moyen d’appréhender la solvabilité et la pérennité d’une entreprise.


L’intelligence financière est la capacité de gagner plus d’argent, le protéger, mieux le gérer et le faire fructifier. L’intelligence financière consiste donc à maximiser ses actifs et minimiser ses éléments de passifs jusqu’à atteindre la liberté financière. La liberté financière est le but de tout entrepreneur. Bien sûr en fonction des passions et des enjeux, l'entrepreneur peut décider de continuer à entreprendre ou s’arrêter de travailler. Par exemple, en Afrique où il y a peu d’entrepreneurs, il est mieux que l’entrepreneur continue à entreprendre pour plus d’emplois et plus de sensibilisation.


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